HORATIO

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Résumé de la pièce

Ce résumé met l'accent sur:

- La double injonction du spectre, notamment l'interdit de toucher à la mère
- La menace de mort à l'encontre de Horatio après l'apparition
- Le passage à l'acte de Hamlet (la lettre à Ophélie)
- Le double jeu et le secret de Polonius
- Le refus d'Ophélie de servir d'appât dans la galerie
- Le test sur Polonius fait par Hamlet avec la troupe de théâtre
- L'échec de la souricière et le silence de Horatio
- Le meurtre de Polonius non accidentelle - la folie et la mort accidentelle d'Ophélie
- La complicité de Gertrude pour éliminer Hamlet
- Les négociations entre les pirates et Claudius pour libérer Hamlet
- Le crie d'amour de Hamlet pour les femmes au cimetière
- Le suicide de Hamlet dans un duel qu'il sait truqué
- Le meurtre de sa mère

Attention! Si vous êtes étudiant, il faudra que vous sachiez retourner au texte et à une bonne traduction (celle de François Victor Hugo ne permettant pas d'aller aussi loin dans l'analyse) pour défendre ce résumé de la pièce qui n'est pas du tout conventionnel.


Les sous-chapitres du menu déroulant sur le côté droit, renvoient à un résumé acte par acte plus complet. Ci dessous, un résumé plus simple:


HAMLET DE SHAKESPEARE

Résumé de la pièce par Sylvain Couprie


*** ACTE I ***

Scène 1 : Devant le château d’Elseneur

Bernardo et Marcellus, sentinelles au château d’Elseneur au Danemark, ont invité Horatio, un proche du jeune prince Hamlet (neveu du roi Claudius), à se joindre à eux pour monter la garde. Ils ont aperçu un spectre les nuits précédentes. Les deux soldats pensent que ce mauvais présage annonce une invasion imminente des troupes de Fortinbras , prince de Norvège.

Le spectre fait une nouvelle apparition, cette fois-ci en présence de Horatio qui l’identifie comme étant le fantôme du vieux roi Hamlet, récemment décédé des suites d’une piqûre de serpent. Au péril de sa vie, Horatio tente de lui barrer la route. Le spectre est sur le point de parler quand soudain le chant du coq annonce l’aube ; le spectre disparaît. Horatio décide d’avertir Hamlet.

Scène 2 : Salle du Conseil au château

Dans une salle du château se tient le conseil. Le Roi Claudius règle les affaires de l’état d’une main de maître : il revient sur son accession au trône, sur la mort du père du jeune Hamlet, sur son mariage avec Gertrude, la reine veuve. Claudius annonce avoir écrit au vieux roi de Norvège pour le sommer de mettre fin aux ambitions de Fortinbras son neveu, qui vient de lever une armée pour envahir le Danemark et reconquérir les terres perdues par son père. Il s’adresse ensuite à Laërte, fils de son conseiller Polonius, qu’il autorise à retourner à Paris.

Claudius se tourne ensuite vers Hamlet, qu’il considère comme son fils, et lui demande les raisons de sa mélancolie, qu’il juge déraisonnable malgré le deuil qui est le sien. Il lui demande de rester auprès d’eux, le temps de régler les affaires de l’état, et d’ajourner son projet de retourner à l’université luthérienne de Wittemberg. La reine joint ses prières à celles du roi et Hamlet promet de lui obéir.

Après le départ du roi et de sa cour, Hamlet se retrouve seul pour exhaler sa douleur et sa haine. Il est dégoûté par le remariage de sa mère, à peine deux mois après la mort de son père. Arrivent Horatio, Marcellus et Bernardo qui révèlent à Hamlet les apparitions du spectre. Le prince décide de monter la garde avec eux, le soir même. Hamlet exprime ses doutes sur les circonstances de la mort de son père – une piqûre de serpent semble abuser les oreilles du Danemark.

Scène 3 : Une chambre dans la maison de Polonius

Ophélie s’adresse à son frère Laërte pour lui demander son avis sur la toute récente et déplacée déclaration d’amour que lui a faite Hamlet. Mais Laërte est euphorique et peu disponible ; il s’apprête à partir pour la France.

Polonius arrive alors pour prodiguer ses conseils à Laërte. Ayant entendu parler des avances faites à Ophélie, il rappelle à sa fille que le prince n’est pas de son rang et que sa condition lui commande de repousser ses avances. Ophélie promet de lui obéir.

Scène 4 : Sur les remparts du château

Hamlet, Horatio et Marcellus montent la garde sur les remparts. Pendant ce temps, au château d’Elseneur, le nouveau roi donne des festivités. Hamlet explique à son ami Horatio la réputation d’ivrognes acquise par les danois et la tendance de ces mœurs à troubler les esprits.

C’est alors qu’apparaît le spectre du roi Hamlet en armure. Hamlet le conjure de parler. Le spectre lui fait signe de le suivre. Hamlet s’exécute, refusant d’écouter ses compagnons.

Scène 5 : Dans la pleine, Hamlet est seul avec le spectre

Le spectre, esprit du roi défunt Hamlet, révèle à son fils les conditions de son assassinat. Son frère Claudius, profitant de son sommeil, lui a versé un poison mortel dans l’oreille. Tué sans avoir pu se repentir de ses pêchés, Hamlet père est condamné à errer dans les geôles du purgatoire. Le spectre lui demande de le venger. Mais il lui interdit de toucher à sa mère l’incestueuse, de la laisser seule avec les remords de sa conscience. Le spectre disparaît avant l’arrivée de Horatio et Marcellus.

Tout d’abord Hamlet feint l’insouciance. Devant l’insistance de ses camarades pour savoir ce que le spectre a bien pu lui révéler, il leur faire jurer par trois fois de ne rien dire sous peine de les faire passer de vie à trépas, une première fois sur ce qu’ils ont vu, la seconde sur ce qu’ils ont entendus. Mais Horatio et Marcellus n’ont rien entendu et, alors que le jour s’est levé, Hamlet continue à parler avec le spectre ; ils sont persuadés que Hamlet converse avec le diable. Terrorisés ils jurent. Hamlet décide de se retirer pour prier. Surpris par cette intention, Horatio offense le jeune prince. Hamlet leur ordonne de jurer une troisième fois et de ne rien laisser transparaître s’ils le voient feindre la folie.




*** ACTE II ***


Scène 1 : Deux mois plus tard, dans la maison de Polonius

Pour éviter que son fils ne tourne mal, Polonius demande à Reynaldo de se rendre à Paris pour l’observer discrètement. Il lui demande de lui rendre compte des mœurs de Laërte.

Ophélie arrive sur ces entrefaites bouleversée par la conduite de Hamlet. Il s’est introduit dans sa chambre complètement débraillé, pâle, tremblant. Il s’est contenté de la tenir à bout de bras, de la regarder ; et il est sorti sans rien dire.

Polonius commence alors à perdre les pédales. C’est bien malgré lui, qu’il éveille les soupçons sur les secrets d’Etat – il explique à Ophélie que le comportement de Hamlet est dû aux ordres qu’il lui a donné de repousser ses avances. Polonius décide de parler au roi.

Scène 2 : Dans une salle du château

Voyant l’étrange transformation de Hamlet, Claudius a fait venir deux de ses meilleurs amis, Rosencrantz et Guildenstern, pour le sonder. Polonius arrive alors pour annoncer au roi le retour des ambassadeurs envoyés auprès du roi de Norvège. Ce dernier a réussi a persuader Fortinbras d’envahir la Pologne plutôt que le Danemark.

Soucieux de protéger les intérêts du roi et de la reine, Polonius leur expose sa découverte sur la folie de Hamlet : Ophélie en refusant ses avances l’a rendu fou ! Il leur fait lire une de ses lettres. Le roi et la reine ne sont pas dupent : la reine pense plutôt que la mort de son père et son remariage précipités lui ont fait perdre la raison. Avant qu’ils ne partent, Polonius propose au roi d’observer Hamlet en cachette, et de lâcher sa fille sur lui lorsqu’il lit seul dans la galerie.

Entre Hamlet. Sans difficultés, il réussit à se débarrasser de ce vieux fou de Polonius qui essaye de le sonder sur les raisons de sa folie. C’est avec surprise que Hamlet retrouve ses vieux amis Rosencrantz et Guildenstern. Il découvre rapidement qu’ils sont envoyés par le roi pour l’interroger et la conversation tourne sur la venue d’une troupe de comédiens, et sur le théâtre.

C’est Polonius qui introduit la troupe de théâtre. Alerté par le précédent double-jeu du conseiller, Hamlet fait jouer quelques vers traitant de la mort du roi Priam de Troie et du deuil porté par son épouse, Hécube. Les réactions de Polonius donnent l’idée à Hamlet de faire jouer le meurtre de Gonzague devant la Cour. Polonius emmène les acteurs, sauf l’acteur principal à qui Hamlet demande d’insérer dans la pièce quelques vers écrits de sa main.

Laissé seul, Hamlet s’interroge sur son inaction. Pour se venger, il vient pourtant de décider de faire jouer le meurtre de son père devant Claudius. Il espère ainsi le confondre.





*** ACTE III ***


Scène 1 : Dans la galerie du château

Le roi et la reine acceptent de confronter Hamlet à Ophélie, comme le leur a suggéré Polonius. Pour cela, Polonius fait venir secrètement Hamlet dans la galerie et, avec Claudius, ils se cachent pour observer. Hamlet se rend à la galerie et en attendant Polonius, il médite sur sa lâcheté et sur ce qui le retient de se suicider – son fameux « être ou ne pas être… », jusqu’au moment où il aperçoit Ophélie.

Ophélie va à la rencontre de Hamlet, comme le lui a ordonné son père. Mais elle refuse de servir d’appât ; elle rend à Hamlet ses lettres. Hamlet comprend qu’elle est une marionnette et il lui conseille d’aller au couvent. Lorsqu’il demande à Ophélie où est son père, avec qui il est censé avoir rendez-vous, avec sa réponse, il comprend que le roi et sa propre mère sont derrière tout ça. Il ordonne à Ophélie de plutôt aller faire la pute dans une maison mal famée. Et il prévient qu’il tuera ceux qui se mettront sur son chemin.

En entendant cela, Claudius est maintenant convaincu que Hamlet est un danger pour la couronne. Il décide de se débarrasser de lui en l’envoyant en Angleterre. Polonius s’y oppose. Avant d’en arriver là, il lui suggère de confronter Hamlet à sa propre mère, juste après la pièce de théâtre. Pour la protéger, il se placera derrière une tenture.

Scène 2 : La représentation au château d’Elseneur

Avant la représentation, Hamlet rappelle à Horatio son serment en le flattant et il lui demande d’épier les réactions du roi. Le roi, la reine et la Cour viennent assister à la représentation de Hamlet, maître de cérémonie. La reine demande à Hamlet de venir auprès d’elle. Voyant le dédain de Hamlet et son intention d’aller se coucher sur les genoux d’Ophélie, Polonius sauve la face en attirant l’attention des suzerains sur les raisons qu’il avance depuis le début.

Hamlet a du mal à dissimuler sa haine envers sa mère ; il la déplace sur Ophélie avec qui il est odieux. A tel point qu’il l’empêche de suivre et de comprendre la pantomime qui se déroule sous leurs yeux. Alors que le meurtre de son père vient d’être mimé devant les spectateurs, le roi et la reine n’ont pas réagi, sinon à son attitude de trublion. Hamlet commence à douter de son piège, censé attraper la conscience du roi. Le prologue n’est guère plus à la hauteur de ses espérances. Lorsque la pièce proprement dite débute et met l’accent sur l’adultère de la reine, la Cour ne bouge pas. Lorsque Lucianus verse le poison dans l’oreille du roi, Claudius reste placide et froid. Hamlet n’en peut plu, il ne peut s’empêcher de perturber la représentation, il s’agite, se lève commente la mauvaise interprétation des acteurs qui ne peuvent plus jouer. Lorsqu’il fait passer Lucianus pour le neveu de Gonzague, le roi, excédé, se lève. Polonius interrompe la pièce. Le roi sort et entraîne avec lui le reste de la Cour.

Hamlet se retrouve seul avec Horatio. Il exulte. Il refuse d’admettre que son plan n’a pas marché, ou à demi comme le lui suggère son ami. Toujours sous le coup de la menace, Horatio préfère ne pas le contredire.

Rosencrantz, Guildenstern, puis Polonius, viennent avertir Hamlet que sa mère désire lui parler. Hamlet met en garde Polonius s’il s’avise à se jouer de lui. Il s’apprête à aller chez sa mère pour en découdre, mais il se ravise et décide de ne pas s’en prendre à elle autrement qu’en paroles.

Scène 3 : Une chambre dans le château

Claudius confie la mission d’escorter Hamlet jusqu’en Angleterre, à Rosencrantz et Guildenstern.

Polonius prévient le roi que Hamlet se rend aux appartement de la reine et de son intention d’épier la conversation.

Resté seul, Claudius s’agenouille pour prier et obtenir le pardon pour son « fratricide ».

En chemin, Hamlet rencontre Claudius en train de se repentir et d’expier ses pêchers. Cette rencontre le rappelle à l’ordre : il doit venger son père ! Pourtant, il prétexte que tuer Claudius en prière l’enverrait au paradis.

Scène 4 : Dans la chambre de sa mère

Polonius, caché dans la chambre de la reine, assiste à l’entrevue entre Hamlet et sa mère. Le comportement violent de Hamlet contraint la reine à appeler au secours. Polonius, en appelant également à l’aide, trahit sa présence. Hamlet le tue avec son poignard à travers la tenture. Il feint de l’avoir pris pour Claudius.
Hamlet, sans le savoir, vient de tuer un détenteur du secret d’état. Il commence alors à reprocher à mère sa conduite indigne et son manque de vertu. Le spectre du roi défunt fait une nouvelle apparition. Il rappelle à Hamlet son devoir de tuer Claudius et de ne pas ajouter aux souffrances de sa mère (l’interdit). Hamlet ne sait plus où il en est. Il demande à sa mère de ne plus partager le lit de Claudius, puis il lui conseille de lui raconter cette scène sur le creux de l’oreiller.
Avant de sortir, Hamlet rappelle à sa mère qu’il doit partir pour l’Angleterre. Désabusée, elle fait celle qui avait oublié. Hamlet quitte la pièce en traînant derrière lui le cadavre de Polonius.





*** ACTE IV ***


Scène 1 : Dans les appartements de la reine

Gertrude persuade le roi que son fils est fou. Elle fait croire à Claudius que Hamlet a pris Polonius pour le roi et qu’il l’a tué dans un accès de rage. Le roi, n’attendant qu’un prétexte pour éliminer Hamlet, charge Rosencrantz et Guildenstern de partir pour l’Angleterre.

Scène 2 : Dans une salle attenante

Rosencrantz et Guildenstern tentent de découvrir où Hamlet a caché le cadavre. Il les tourne en dérision et leur conseille d’utiliser leur flaire. Il accepte de rencontrer le roi.

Scène 3 : Dans une salle attenante

Hamlet révèle au roi où se cache le corps de Polonius. Sachant le sort qui lui est réservé, Hamlet feint d’être content de partir pour l’Angleterre.

Resté seul, Claudius se persuade qu’il a raison d’avoir ordonné l’exécution de Hamlet dès son arrivée en Angleterre.

Scène 4 : Sur les terres du Danemark

Avant d’embarquer pour l’Angleterre, Hamlet croise les troupes de Fortinbras qui traversent le Danemark pour aller conquérir des terres stériles en Pologne. Devant la futilité de l’enjeu négocié par Claudius, Hamlet se reproche de ne pouvoir tuer son oncle pour sauver l’honneur de sa mère.


Scène 5 : La grande salle du château

Ophélie apparaît rendue folle par la mort de son père et la trahison de Hamlet. La reine tente de la raisonner mais Ophélie entonne des chants poétiques.
Une armée, levée par Laërte se presse aux portes du Palais. Laërte exige la couronne du Danemark en dédommagement pour la mort de son père. Laërte demande des funérailles nationales et que soit éclaircie la mort de son père.
Avant même que le roi ne puisse donner plus d’explications à Laërte, Ophélie apparaît délirante, devant son frère. Laërte se jure de venger la mort de son père et de punir les responsables de ce qui arrive à sa famille.

Scène 6 : Dans les appartements privés de Horatio

Horatio reçoit une lettre de Hamlet, dans laquelle il lui explique comment il a pu échapper à Rosencrantz et Guildenstern : leur bateau a été attaqué par des pirates ; fait prisonnier, il a obtenu sa liberté contre une entrevue avec le roi du Danemark. Dans cette lettre, Hamlet informe Horatio que Guildenstern et Rosencrantz continuent leur route vers l’Angleterre.

Scène 7 : Dans la salle d’armes

Claudius explique à Laërte les circonstances de la mort de son père et les conséquences pour Ophélie. Il réussit à convaincre Laërte que durant son absence, Hamlet a gagné la confiance du peuple.
Un messager apporte une lettre au roi, signée de Hamlet lui-même, lui annonçant son retour. Claudius échafaude alors un plan où Laërte aura à provoquer Hamlet en duel. Laërte enduira son épée démouchetée d’un poison mortel. Pour parfaire le piège, le roi offrira à Hamlet une coupe de vin empoisonnée.
La reine entre pour annoncer la noyade d’Ophélie.





*** ACTE V ***


Scène 1 : Dans le cimetière

Deux fossoyeurs creusent une tombent pour une inconnue qui s’est suicidée. En revenant du port, Hamlet et Horatio les rencontrent. L’un des fossoyeurs leur tient un discours digne d’un roi. Déboussolé, Hamlet s’interroge sur le sens de la vie. Le fossoyeur lui tend le crâne de Yorick, le bouffon du roi.
Arrive un cortège funèbre. Hamlet et Horatio se mettent à l’écart pour ne pas gêner la procession.
En voyant Laërte descendre dans la fosse pour étreindre une dernière fois sa sœur, Hamlet comprend qu’il s’agit de la tombe d’Ophélie. Il saute lui aussi dans la fosse. Dans l’altercation, ils piétinent le corps d’Ophélie. Hamlet le Danois crie son amour pour Ophélie.

Scène 2 : Dans la salle d’armes

Hamlet explique à Horatio comment il a fait sauter l’artificier avec son propre pétard. Porteur du sceau royal, il a pu substituer aux ordonnances du roi Claudius ses propres ordonnances commandant aux anglais d’éliminer Rosencrantz et Guildenstern.
Entre Osric, un courtisan, venu annoncer à Hamlet l’intention de Laërte de le provoquer en duel. Après l’avoir ridiculisé, Hamlet accepte de relever le défi. Horatio le prévient que c’est du suicide. Hamlet accepte son destin.
Entrent le roi, la reine, Laërte et la cour. Hamlet présente ses excuses à Laërte qui accepte étrangement. En voyant le choix opéré pour les épées, Hamlet comprend que celle de Laërte est démouchetée. Après chaque passe le roi propose à Hamlet de boire à sa coupe. Mais Hamlet est méfiant. C’est Gertrude qui boit à sa santé finalement. Malgré les cries de Claudius, Hamlet la laisse boire la coupe empoisonnée. Dans la confusion, Laërte touche Hamlet, puis ils s’échangent leurs fleurets et s’est au tour de Hamlet de blesser Laërte.
La reine s’effondre. Laërte révèle le piège qui s’est finalement refermé sur lui et dénonce Claudius comme l’instigateur.
Hamlet tue Claudius et l’envoie rejoindre sa mère… en enfer.


Melun, 9 janvier/ 21 février 2012

Écrit par horatio in love Lien permanent | Commentaires (0)

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