« Hamlet est une aporie pour la critique », écrit Yannick Butel dans sa thèse soutenue en 1999 et parue aux PUC en 2004. C’est-à-dire : une contradiction insoluble. Hamlet demeure, malgré la multiplication des commentaires et des représentations, un texte qui échappe aux discours théoriques et historiques, comme aux pratiques esthétiques. Le texte résiste (p20). Hamlet est tout sauf un texte qui « échappe » au discours. Le sens certainement. Et Yannick Butel est de ceux qui prennent la tangente, bien qu’il se targue d’une lecture qui « participe d’une fronde dont nous avons bornés les...

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